Galerie Charlotte Norberg - Sur une proposition de Marie Deparis-Yafil
Galerie Charlotte Norberg - Sur une proposition de Marie Deparis-Yafil
Pour chacune des pièces de cette série, je recherche un haïku qui m’évoque instantanément une image.
Je laisse ensuite à un automate le soin d'en faire un QR Code, code barre à 2 dimensions qui permet de stocker des informations numériques, utilisées habituellement à des fins de communication et de publicité.
Je me réapproprie le dessin ainsi obtenu et réalise à la main une pièce abstraite. A compter de cet instant, je choisis les couleurs, la façon dont je découpe les formes géométriques en carrés ou en rectangles et la mise ou non en relief de ceux-ci.
Choisir une forme poétique très codifiée, à forte composante symbolique, telle que le haïku, au texte toujours très bref, et la transformer en un QR Code, qui peut condenser une quantité impressionnante d'informations, me permet de mettre en évidence une parenté étonnante entre ces 2 éléments aux vocations si opposées et fait de chaque pièce produite, un haïku des temps modernes...
M.T.
Inauguration de l’espace bruxellois de la MH Gallery et vernissage de l’exposition NineEleven
Samedi 10 septembre 16 - 21 h
Mathilde Hatzenberger Gallery
Hoogstraat 11 Rue Haute / 1000 BXL
00 32 (0)478 84 89 81
>>> Aller sur le site de la MH Gallery
Commissaires d’exposition : Freddy Pannecocke & Carole Douay
Cette exposition est organisée par le Service Mobile d’Animations Culturelles (SMAC), en collaboration étroite avec la Ville de Douai, l’école d’art et le Musée de la Chartreuse et avec le soutien de la Business Box / Douai.
Depuis les origines à aujourd’hui, l’hybride semble lier l’humain à ses capacités d’adaptation aux contraintes environnementales,
offrant ainsi par le métissage de différents ordres, une nouvelle diversité, ontologiquement créative, résolument anticipatrice ou craintive. Omniprésent dans les technologies, la biologie, la
communication et bien d’autres domaines encore, il l’est dans l’expression artistique. L’histoire de l’art a souvent pointé les premières hybridations techniques avec les collages cubistes du
début du XXe siècle, mais déjà, ne se trouvaient-elles pas dans les peintures rupestres du paléolithique dont l’observation soulève certaines questions, par la mixité des outils et des matières
employées (empreintes, négatifs, contours…), par la juxtaposition de représentations figuratives et de signes graphiques ?
Du besoin de susciter les sens, de la volonté inévitable de relier les performances du corps aux expérimentations intellectuelles,
l’art contemporain explore l’hybride usant lui aussi le champ des sciences, des technologies, des espaces, de la nature et de l’homme.
L’événement Hybride présenté à l’ancienne Centrale fermière de Douai, prolongé dans son parcours au Musée de la Chartreuse et à l’école d’art (Résidence) se veut un panorama divers et non exhaustif sur le thème. Vingt-cinq artistes se trouvent réunis pour une grande première dans le Douaisis, croisant trois approches du thème : images mixtes, pluridisciplinarité (peinture, photo, sculpture, vidéo et installation) et chimères.
Les artistes :
Emmanuel BRILLARD - Rénato CASCIANI - Géraldine CHUNIAUD - Didier CRESSOT - Carole DOUAY - Arnaud DELRUE - Anne FERRER - Aude
FRANJOU - Alice HAMON - Myriam HEQUET - Mélanie LECOINTE - Claude LEVÊQUE - Philippe MAYAUX - Armand MORIN - Freddy PANNECOCKE - Jacques PERCONTE - Françoise PETROVITCH – Franck POPULAIRE -
Bernard PRAS - Jérôme PROGIN - Éric RONDEPIERRE - Francesco SAMBO - Mai TABAKIAN - Vadim SERANDON - Nicolas TOURTE.
>>> Pour en savoir plus : http://smachybride.over-blog.com/article-communique-de-presse-79209782.html
2011 - Textiles, ouate, polystyrène extrudé, carton plume - format total : environ 180x60cm
Photo : Benoit Moyen- « Port-Royal », Sylvie Kaptur Gintz, 2009- (Détail)
Exposition rassemblant les oeuvres de sept « jeunes » artistes - Faye Formisano, Vanessa Fanuele, Naji Kamouche, Sylvie
Kaptur-Gintz, Sandra Krasker, Mai Tabakian et Brankica Zilovic - "Sutures" est l’occasion, pour certains d’entre eux, de montrer un travail inédit ou jamais vu, pour d’autres, de
produire une oeuvre spécifique.
Ces sept artistes sont liés par suture, par rapprochement de territoires, à la fois formel et émotionnel.
D’abord tous ou presque travaillent, de manière occasionnelle ou récurrente, avec le textile, le fil, le tissage, la couture, qui
se découvrent comme autant de matériaux métaphoriques de leur propos.
Ensuite, au travers de ces matériaux et de ces techniques, tous expriment quelque chose ayant à voir avec la blessure, et la
réparation, qu’elles soient organiques, physiologiques, morales, existentielles, métaphysiques ou historiques. Une manière de dire comment la souffrance est au coeur du coeur de la condition
humaine, mais aussi que le pouvoir de réparer, de relier et de resouder, de reconstruire, dans la résilience aussi, est toujours possible et au centre moteur d’un agir humain possible . Car tous
nous sommes des survivants.
"SUTURES" - Sur une proposition de Marie Deparis-Yafil
Galerie Charlotte Norberg - Du 1er au 24 septembre 2011
74 rue Charlot- Paris 3ème
Vernissage le 1er septembre à partir de 18h, en présence des artistes.
2011 - 9 éléments de 20cm de diamètre - format total : environ 118x60cm
Exposition de groupe Mai Tabakian, Matteo Negri et Patrick Laroche.
Vernissage le jeudi 16 juin à à la Galerie 208 Chicheportiche
De 18h à 22h
208 bd Saint Germain 75007 Paris
Jusqu'au 10 juillet 2011.
2011 - 9 éléments de 20cm de diamètre - dimensions variables, environ 118x60cm